À partir de leur vécu et pendant près de deux heures, une dizaine de militant·es ont interrogé·es les six candidat·es sur les responsabilités de l’Europe et de la France concernant les délocalisations et le dumping social à l’échelle du continent ainsi que sur leurs propositions pour améliorer les normes sociales et environnementales.
La CGT refuse de banaliser l’extrême droite
Lors de cette rencontre, Sophie Binet a partagé les propositions de la CGT pour l’industrie et l’environnement et exigé des actes pour protéger les travailleur·es. Elle a également interpellé les candidat·es présent·es sur leur engagement face à la montée de l’extrême droite :
Vous engagez vous à ne pas faire d’alliance, à ne pas vous associer à une majorité construite avec des partis d’extrême droite ?
La Secrétaire générale a rappelé que la CGT, fidèle à ses valeurs et contrairement au patronat, refuse de débattre avec l’extrême droite, considérant qu’elle est le pire ennemi des travailleurs·euses.
Pour la CGT, le rassemblement national ne sera jamais un parti comme les autres
“Mesdames les candidates, messieurs les candidats. Notre Europe, notre démocratie crèvent de la perte de crédibilité de la parole politique.
De ces promesses trahies.
De ces discours en décalage complet avec les actes.
Alors nous vous demandons une chose : la franchise et l’honnêteté.
Pas de langue de bois.
Des actes ! “
Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT
Télécharger et lire l’intégralité des conclusions de Sophie Binet aux États généraux de l’industrie et de l’environnement ↓
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