Grève féministe du 8 mars 2024 : J-30 – 🔴 live twitch à 14h30

  • Post category:Actualité

Montée des luttes des femmes

Lors des deux dernières grandes mobilisations contre la réforme des retraites, les questions des faibles pensions des femmes et des inégalités salariales ont été pointée. De même, l’épidémie de covid a aussi mise en lumière les métiers du soin et du lien, occupées majoritairement par des femmes. Une étude IRES CGT souligne l’enjeu de la revalorisation de ces secteurs pour l’égalité femmes-hommes.

 

J-30 pour la grève féministe du 8 mars #UnJourSansNous : plus de 300 militantes et militants https://t.co/xwLTgGugxY à Montreuil pic.twitter.com/SHtfEylYyj

— egaliteprocgt (@egaliteprocgt) February 8, 2024

 

Le 8 mars 2024 s’inscrit dans cette dynamique

« Aujourd’hui un pas supplémentaire est marqué par la CGT dans la préparation du 8 mars. La totalité de nos structures s’est engagée à faire de cette journée de lutte pour les droits des femmes, une journée de grève interprofessionnelle de toutes et tous. Des préavis de grève vont être posés dans toutes les professions. » ont souligné Myriam Lebkiri et Fanny De Coster, animatrices de la commission femmes-mixité de la CGT. 

 

🔜 Accéder au live twitch à 14H30

 

Convaincre, Organiser, Valoriser la grève féministe

Pour préparer ce 8 mars, les syndicalistes présent·es se sont réparti·es dans des ateliers «égalité salariale », «  visibilité de la grève féministe », « dépasser les tabous de la grève », « syndiquer des femmes ».  Ils et elles peuvent compter sur le kit communication de la CGT #UnJourSansNous et l‘appel commun des organisations syndicales et féministes. 

L’ambition étant de faire de la grève féministe une réalité pour inverser le rapport de force et conquérir de nouveaux droits.

Le succès de la mobilisation du 8 mars, est aussi un enjeu pour gagner  la transposition en France de la directive européenne sur la transparence salariale. L’intervention de la CGT a permis un engagement du gouvernement de porter cette négociation avant le mois de juin.

« Les actions peuvent être multiples et ne pas s’arrêter à la seule journée du 8 mars car la bataille pour l’égalité au travail, au foyer et dans la société c’est tous les jours. »