L’indécence des grands patrons et le chantage à l’emploi
Le #Medef et les risque de délocalisation : “Ce chantage à l’emploi, on n’en peut plus. Les grands patrons coulent le pays, les rats quittent le navire”@BinetSophie, secrétaire générale de la CGT, invitée de @c_landreau dans #RTLMatin pic.twitter.com/TWmj3i3er4
— RTL France (@RTLFrance) January 31, 2025
La CGT déplore l’indécence de Bernard Arnault qui ose se plaindre de la légère augmentation qui plus est limité dans le temps de la taxation des grandes entreprises alors que ses impôts n’ont fait que diminuer sous le quinquennat d’Emmanuel Macron. Il faut arrêter avec ce chantage à l’emploi des entreprises menaçant de délocaliser leur production alors qu’elles ont été gavées de cadeaux fiscaux et d’aides publiques. Ces grands patrons “n’en ont plus rien à faire de la France et de l’intérêt général. Les rats quittent le navire“.
Le naufrage de la politique de l’offre d’Emmanuel Macron
La Cour des comptes estime à 260,4 milliards d’euros le soutien financier total aux entreprises. Jamais les aides aux entreprises n’ont été aussi élevées mais pourtant elles licencient massivement. Aujourd’hui, 300 plans de licenciements menacent 300 000 emplois. La CGT exige que le gouvernement reprenne la main.
Des salaires qui baissent pendant que les actionnaires s’enrichissent
La CGT rappelle que la différence entre le salaire net permet qui permet de vivre au quotidien et le salaire brut permet de vivre toute sa vie. Le salaire dit “socialisé” c’est-à-dire avec les cotisations sociales incluses (retraite, congé maladie, maternité.. ) ce sont des droits acquis par les travailleurs·euses. Il nous faut défendre le salaire Brut, partie intégrante de notre salaire.
En baissant les cotisations des entreprises, Emmanuel Macron n’a pas augmenté les salaires mais a favorisé les distributions de dividendes. Pendant ce temps, des entreprises comme Michelin licencient 1000 salarié.es tout en versant des milliards à leurs actionnaires.
Intersyndicale contre la réforme des retraites
#Retraites : “Nous restons concentrés sur le fait de gagner le retour à 62 ans”@BinetSophie, secrétaire générale de la CGT, invitée de @c_landreau dans #RTLMatin pic.twitter.com/58jvMdmlzC
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Les organisation syndicales sont unies pour dénoncer cette réforme qui vole 2 ans de vie aux travailleurs·euses. Depuis deux ans, la CGT exige l’abrogation de la réforme des retraites et le retour à un départ à 62 ans. Un compromis à 63 ans ne serait pas acceptable.
Seule la démocratie, par le vote des citoyen.nes et des député.es, doit trancher.
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Sophie Binet, invitée de RTL